Ce qui me semble prioritaire de faire, sans attendre aucun audit, c’est
les démarches vis-à-vis de Jules. Une reconnaissance publique du
caractère inacceptable de l’ordre de censure arbitraire qui lui a été
communiqué et en conséquence de l’inanité des motifs avancés pour sa
mise à pied et son renvoie. L’association se doit de désavouer
ostensiblement ces décisions, de même que celles concernant les
modérations arbitraires et la fermeture de la liste discussion et les
rejets de (ré)adhésion pour des motifs flous.