Bonjour,


A mon avis, nous avons un train de retard. En effet, ce qui se trame depuis quelque temps au sein de l'association est la priorité de ces quelques trublions, ce qui est malheureusement loin d'être le cas de la plupart d'entre nous. En outre, tout est fait pour masquer la réalité, mensonges répétés sur tous les supports possibles et imaginables, embobinage (même auprès des journalistes), certains (ou certaine ?) envoyés au casse-pipe pour semer la confusion (par stratégie ou en profitant de certaines défaillances personnelles). Pendant ce temps, on utilise tout son temps, payé par l'association voire par la sécurité sociale (et même les avocats eux aussi payés par l'association) pour monter une stratégie.


La préparation de l'assemblée parle de démission du conseil, de décisions à prendre concernant certains salariés, d'audit de gouvernance. Soit... Mais si tout était déjà plié ? S'il y avait une telle proximité (*) entre certains membres du conseil d'administration et certains salariés actuels pour qu'il soit d'autant plus aisé d'avoir déjà acté une rupture à l'amiable ? Il sont 6 au CA, si l'un d'entre eux est absent à une réunion, il suffit de trois pour prendre une décision. Cherchez trois noms au hasard, vous verrez c'est facile.


Si j'étais salarié en position de faiblesse pour tout un tas de raisons (que j'essaierais tant bien que mal de masquer en m'agitant dans tous les sens, voir supra), je négocierais rapidement un an de salaire pour que 8 jours avant l'AG je sois déjà loin. Réfléchissez !


Si cette hypothèse est tout à fait plausible, notre priorité numéro 1 est d'empêcher cela. Départ négocié oui, un an, non ! Il existe plusieurs options que je ne préfère finalement pas évoquer ici mais je reste disposé à les suggérer à certains membres que je considère de confiance.


Il va falloir du courage à ceux qui reprendront les rênes mais l'avenir s'annonce plutôt clair... sauf qu'il faut faire extrêmement attention à l'utilisation des fonds qui peut être faite dans les jours qui viennent (probablement en toute légalité d'ailleurs, je ne parle absolument pas de malversation !).


Bien cordialement



Starus


(*) on me parle de notoriété publique, je ne sais qu'en penser ?